Le petit cycle du soleil

Je m’intéresse depuis la Fac à un évènement qu’on nomme le petit cycle du soleil. Il s’agit d’un cycle durant lequel l’activité du soleil crois, puis décroit, pour revenir à son niveau initial. Cette activité est corrélé par les scientifiques avec le nombre de tâche observé sur le soleil, le minimum étant 0 taches.

Cette activité est liée a des évolutions de températures qu’on peut observer sur la planète. Par exemple, nous observons les hivers les plus froids depuis plusieurs centaines d’années lorsque l’activité du soleil est au plus bas, et donc lorsque le petit cycle du soleil est en phase basse.

Deux articles très intéressants expliquent de manière très simple ce phénomène

• L’article de Wikipédia « Cycle solaire » que vous trouverez ICI
• L’article de Futura « Le Soleil a débuté son 25e cycle d’activité, annonce la Nasa » que vous trouverez ICI

Le schéma ci-dessous montre l’activité du soleil depuis 2010 et une prévision jusqu’à 2032

Si vous ne souhaitez pas lire ces deux articles, ce qu’il faut retenir d’après moi:

• il y a bien un lien entre l’activité du soleil et les températures sur la planète.
• ces cycles n’ont pas des intensités de mêmes valeurs: certains sont plus importants, et d’autres plus faibles. Les cycles de ces dernières décennies sont d’intensités de plus en plus faibles (en opposition avec l’augmentation globale de la température observée depuis l’air industriel), et vont être de plus en plus faibles jusqu’à 2050/2070.
• nous n’aurons pas pour autant d’après la NASA de « petit âge glaciaire » comme observé au cours du 16ème siècle (j’ai étudié cette évènement à la fac, très intéressant).

Je suis très interrogative vis à vis de ces informations. On observe des étés de plus en plus chauds ces dernières décennies malgré le fait que les cycles soient de moins en moins intenses. Néanmoins, j’observe à l’Hélichryse des hivers de moins en moins froids depuis le démarrage du nouveau Cycle. J’aurai tendance à penser qu’on continue à observer l’impact des cycles, tout en vivant une dérive vers le haut des températures moyennes. Peut être également qu’on doit au « minimum d’Eddy » de ne pas vivre des été plus caniculaires qu’ils le sont…